Cardi B risque 4 ans de prison !
Publié : 28 juin 2019 à 11h50 par Aurélie AMCN
Suite à une altercation dans un bar new-yorkais, Cardi B risque 4 ans de prison. La star réplique.
Cardi B risque gros. Très gros. Après une première comparution devant la justice américaine, la rappeuse s’est à nouveau présentée devant la Cour Suprême du Queens, un quartier de New-York. Inculpée de 14 chefs d’accusation concernant une bagarre survenue l’été dernier dans un club de strip-tease situé dans le Bronx et impliquant quatre autres personnes (2 barmaids et 2 sœurs), l’interprète de Bodak Yellow a plaidé « non-coupable » des faits qui lui sont reprochés, à savoir agression préméditée, sollicitation criminelle, conspiration ou encore harcèlement, entre autres.
CARDI B PLAIDE « NON-COUPABLE »
Le procureur du district du Queen, M. John M. Ryan, a d’ailleurs rappelé les faits : « Les accusés dans cette affaire sont soupçonnés d’avoir prémédité deux attaques contre deux femmes travaillant dans un club du Queens. Des bouteilles de verres et des boissons alcoolisées ont été lancées contre les victime et l’une d’elle a été frappée contre le bar (…). Ce genre de violences n’est pas tolérée dans notre communauté. Les prévenus seront tenus responsables de leurs actes ».
Il a ensuite évoqué la peine encourue par Cardi B : entre quatre et huit ans de prison ferme. Dès le lendemain de cette annonce, la rappeuse de 26 ans, maman d’une petite fille prénommée Kulture et âgée de 11 mois, a fait une déclaration en plein milieu d’un concert en marge des BET Awards : « Je n’irai pas en prison. J’ai une fille à élever ! ». Une nouvelle audience est d’ores et déjà prévue dans les prochaines semaines.
CARDI B, DÉJÀ EN PRISON DANS LE CLIP « PRESS »
Menacée par la justice américaine, Cardi B se met déjà en scène dans un Palais de justice et dans une prison après avoir tué deux personnes dans son clip Press dévoilé le 26 juin dernier. La vidéo fait également le buzz, car la star s’y montre entièrement nue. Quant aux paroles, elles sont directement adressées aux médias qui, selon elle, étalent sa vie.